L’Assemblée nationale examinait jeudi 22 octobre le budget de l’Union européenne pour l’année 2010, un budget libéral qui ne tient nullement compte des ravages de la crise sur les classes populaires, et accorde plus de crédits à la lutte contre les émigrés qu’à la promotion des droits.
Je suis intervenu au nom du groupe GDR pour demander que cette Europe écoute enfin les peuples : ils souhaitent une véritable relance de l’économie, plus de solidarité et de protection, et la fin d’un dumping social qui nous tire tous vers le bas.